Automatic City
 Triple ripple
  Notes sur l'album :

Automatic City est entré dans le blues par la porte de derrière. D'autres l'avaient fait avant eux : les géants du label Chess, Dr John, Captain Beefheart, Alan Vega, Jon Spencer. Et parce qu'il n'y a pas que le blues dans la vie (même s'il n'y a pas de vie sans blues), Automatic City le croise avec son goût pour l'exotica orientaliste et psychédélique, les BO de films de science-fiction, les rythmes africains, les beats électroniques. Triple ripple est leur troisième album, et c'est le meilleur. Celui qui va plus loin, plus dense, plus fou. Ce qu'on y entend vient de partout, et ne s'entend qu'ici.

 Article(s) de presse dans :

Télérama nº 3621 p.81 du 05/06/2019, noté 4/4
Soul Bag nº 234 p.62 du 24/04/2019, noté 5/5