Notes sur l'album :
Avec ce volume 4, Benjamin Alard poursuit l'exploration de la période de Weimar, dite "de la première maîtrise". Après à la française, tournons-nous vers l'Italie où règne le concerto de Vivaldi à Venise. Le jeune Bach s'y crée un merveilleux espace de liberté entre le transcripteur et l'improvisateur. Car "si la transcription est affaire de liberté, elle relève également d'un puissant imaginaire : chaque pièce présente dans cet enregistrement nous transporte dans un univers vénitien qui fascinait Bach autant qu'il l'inspirait", comme le démontre l'interprète sur trois instruments exceptionnels.
Article(s) de presse dans :
Classica nº 229 p.89 du 19/02/2021, noté 5/5