Moger Orchestra
 There Must Be A Passage
  Notes sur l'album :

« un voyage intérieur qui prend racine dans une transe au timbre grave révélée par l'orchestration rock et une énergie débordante !» --- jazz magazine ---. Moger («mur» en breton) est la rencontre entre le bassiste et chanteur franco-britannique dylan james, une section atypique d'instruments à vent et un batteur à la rythmique implacable. D'un son dense et puissant le quintet met en musique la poésie anglophone contemporaine de griselda drouet, dont le premier corpus de texte marque le début de moger en 2015. Après deux disques sortis au label musiques têtues en 2018, time will defeat et moger orchestra - pour la première fois en formation augmentée avec une dizaine de soufflants - le nouveau répertoire, there must be a passage, se développe autour d'une coécriture de poèmes de griselda drouet et dylan james. Après la première orchestration de 20172018, proche du big band avec les 10 instruments à vent, cette nouvelle instrumentation se veut plus réduite et diversifiée : la guitare électrique de christelle séry, le violon de floriane le pottier, le violoncelle de lydie lefebvre, la multiinstrumentiste sakina abdou au saxophone alto et flûte à bec basse qui s'ajouteront à la clarinette basse d'Etienne cabaret, le saxophone baryton de régis bunel, la batterie de nicolas pointard et la basse électrique de dylan james. Les arrangements sont confiés aux différents interprètes, le tout dans une écriture orchestrale précise et novatrice dans un registre grave qui laisse une part belle aux improvisations. Cette identité esthétique permet une grande diversité d'approche sans mettre à défaut la ligne artistique de départ. Cette démarche s'inscrit dans la continuité de ce que défend le groupe moger depuis le début en 2015 : la composition collective. « véritable folkband venu du kreiz brei zh, moger orchestra partage un son dense et puissant entre courants jazz, folk, pop-rock , musique improvisée et spoken word. » ---PERSONA ---.

 Article(s) de presse dans :

Télérama nº 3865 p.64 du 07/02/2024, noté 3/4