Notes sur l'album :
Pour la première fois, elle s'approprie le chant en français avec un naturel déconcertant et une élégance rare. Virage à 180º stylistiquement également. Izia délaisse sa relecture d'un rock ancré dans les seventies pour s'aventurer vers une pop lumineuse et éthérée, aux accents proches du minimalisme cher à The XX. Synthétiseurs enivrants, savants entrelacs de guitares minimalistes, gimmick vocaux aériens, beats hypnotiques, elle délivre un subtil mix entre mélancolie et dancefloor. Elle a travaillé sur cet album en binôme avec Johnny Hostile, fondateur de Pop Noire et réalisateur des albums de Savages ou Lescop.
Article(s) de presse dans :
Télérama nº 3405 p.51 du 15/04/2015, noté 4/4
Rock & Folk nº 573 p.87 du 21/04/2015, noté 2/5